Le 6 Octobre 1949 à Rennes né Jean Jacques TAZARTEZ, plus connu sous le nom de Nicolas PEYRAC.
Après avoir passé son enfance en Bretagne, et un an auprès de sa mère à New York, Nicolas PEYRAC, revient en France, pour y suivre des études de médecine, tout en se passionnant pour la photo, la littérature et la musique. Après 6 ans d’études, c’est vers la musique qu’il se tourne.
Durant la décennie 70, Nicolas PEYRAC écrit et compose des titres qu’il propose à des éditeurs, et qui finiront sur les lèvres de Marie LAFORÊT, Gérard LENORMAN, mais en interprète également avec succès comme en avril 1975 où il publie « So far away from L.A », puis « Et mon père » en Novembre de la même année.
Des succès qui permettront à Nicolas PEYRAC de sortir plusieurs albums: « D’où venez-vous ? » en 1975, « Jumbo » en 1976, « Quand pleure la petite fille » en 1976, « Et la fête est finie » en 1977 ou bien encore « Je pars » (1977), « Je t’aimais », je n’ai pas changé » (1978).
Rapidement Nicolas PEYRAC se produit sur scène, comme l’Olympia en 1979 ou Bobino en 1981. En plus de la musique, c’est le cinéma qui vient à lui, où il interprète le rôle d’un chanteur dans le film de Serge PÉNARD, « Ils sont fous ces Normands ». Il apparaît également en 1985 dans le téléfilm de Franck APPREDERIS, « Le passage ». Aimant la musique et la comédie, il accepte de jouer dans la comédie musicale « Le rêve de mai » en 1978 sur les événements de Mai 68. Un projet sur lequel on retrouve également Nicole RIEU, Jean-Michel CARADEC et Didier MAROUANI.
Tout au long de la décennie 80, Nicolas PEYRAC écrit, compose, et poursuit avec succès sa carrière, offrant au public les albums « Fait beau chez toi », « Elle sortait d’un drôle de café », « Flash-back », « Neuvième », « Laissez-moi rêve »r, « J’t’aimais trop, j’t’aimerai tellement ».
Le début des années 90 n’aura pas la même saveur que les autres. Malgrè la réussite du titre « Au cas où », écrit et composé pour Caroline VERDI, et le documentaire « Capital mental ou les chemins de la performance » qu’il signe avec Christian REYES, Nicolas PEYRAC connait une longue période de dépression, suite à la disparition de sa mère, et quelques soucis personnels, qui le poussent à s’exiler d’abord en Californie, puis à Montréal jusqu’en 2008.
En 1994, Nicolas PEYRAC signe son premier roman, baptisé « Qu’importe le boulevard où tu m’attends », et continu de chanter au Québec. Deux ans plus tard, Nicolas PEYRAC décide de revenir dans l’hexagone pour se produire au Casino de Paris, puis à Bobino en 1997. Retrouver le public lui donnera le goût de publier de nouveaux albums et de retourner sur les routes.
En 2005 nous le retrouvons en radio avec le titre inédit « Ne me parlez pas de couleurs », prélude à la sortie d’une compilation nommé « Toujours une route », retraçant trente ans de carrière. L’année suivante Nicolas PEYRAC présentera au public « Vice-versa », un nouvel album, qu’il défendra sur scène pour une tournée à travers la France. Cette même année, Nicolas PEYRAC publie « J’ai su dès le premier jour que je la tuerais », son second roman.
Après une grande tournée, Nicolas PEYRAC décide de préparer doucement un énième album et revient alors en 2009 avec « Case départ », et comme pour la sortie du précédent album, il publie la même année, son troisième roman, « Elsa ».
En 2012, Nicolas PEYRAC retrouve le chemin des studios, pour préparer en compagnie de Mathieu JOHANN, un album de duo, où il reprend avec de grands noms de la musique ses plus grands titres. Un album qui devrait voir le jour dès le printemps 2013.