Sabrina est de retour avec "Voices"
Il y a 31 ans, Sabrina SALERNO (de son patronyme), entrait 27ème du Top 50 avec son single « Boys« , pour s’installer n°1 durant cinq semaines consécutives, à partir du 6 février 1988 (s’écoulant à près de 700 000 exemplaires sur notre territoire). Née en 1968 à Gênes en Italie, SABRINA rencontre un énorme succès grâce à « Boys« , mais aussi à ses atouts féminins aux formes généreuses – personne n’a oublié son mémorable clip tourné dans une piscine (le premier clip de l’histoire censuré par MTV). « Boys » se classera aussi n°1 en Espagne, en Suisse, en Italie… Suivront les follow-up « Hot Girl » (Top 12 en 1988) et « All Of Me » (Top 15 en 1988), puis plus rien. En tout cas dans les charts.
La chanteuse traverse le désert durant une vingtaine d’années, malgré quelques albums parus dans les années 90 notamment en Italie, avant de revenir récemment en vedette sur la tournée « RFM Party 80« . En 2010, elle reprend « Call Me » de BLONDIE, avec Samantha FOX (dont une compilation vient de paraître), et en 2014 sortira son dernier single en date « Colour Me« .
La bonne nouvelle est que Sabrina SALERNO est de retour ! Avec de l’inédit. A 50 ans, la bella ragazza italienne revient avec « Voices« , un titre pop dance en collaboration avec Mauro FERRUCCI, Tommy VEE et George SANTANA, enregistré dans la langue de Molière. Le clip enregistre déjà près de 200 000 vues en un mois seulement.
LE SAVIEZ-VOUS ?
Pour SABRINA, dans les années 80 : « il y avait une envie d’être différent, une autre mentalité. Tout était plus facile. Les gens étaient plus tranquilles« . La chanteuse confie à nos confrères de « Télé Loisirs », être mariée à Enrico MONTI, un entrepreneur italien, et avoir un fils de 13 ans. « « Boys« , est une partie de ma vie que mon fils n’accepte pas. Il n’aime pas du tout mon métier. Il est très jaloux » poursuit-elle. « Dès qu’il me voit à la télévision, il change de chaîne. Il veut sa maman que pour lui. Quand je suis dans un restaurant ou dans la rue et que l’on me reconnait, il fait croire que ce n’est pas moi« .
Par Thierry Cadet