Patrick FIORI revient avec "Où je vis"
C’est en 1993, à l’occasion du Grand Prix Eurovision, que le grand public découvre Patrick FIORI avec « Mama Corsica » qui se classe 4ème. Trois ans après l’album « Choisir« , et un an seulement après son n°1 « Corsu Mezu-Mezu » (contenant seize duos exceptionnels représentatifs de la culture insulaire, interprétés par un artiste corse et un artiste du continent, un disque écoulé à près de 300 000 copies), Patrick FIORI dévoile aux radios un nouveau single inédit, écrit et composé par ses soins : « Où je vis« . Une chanson qui servira de locomotive pour le prochain opus « Promesse« , à paraître à l’automne, le 29 septembre prochain.
En 1998, « Belle » (extrait de la comédie musicale « Notre-Dame de Paris« ), se retrouve classé n°1 des ventes de singles en France durant dix-huit semaines. Un véritable record ! Le chanteur marseillais d’origines corse et arménienne, mène depuis plus de trente ans, une carrière personnelle avec ses titres en solo, de « Stéphanie » à « J’en ai mis du temps« , en passant par « Prends-moi« , « Elle est » ou « T’aime« . En 2007, il retrouve la tête des charts avec le tube « Quatre mots sur un piano » (écoulé à près de 150 000 exemplaires), en trio avec Jean-Jacques GOLDMAN et Christine RICOL. L’occasion pour son label de publier le premier Best of du beau brun, regroupant la plupart de ses tubes : « Que tu reviennes« , « Sans bruit« , « Je sais où aller« , « Il parait« , « Toutes les peines« … ainsi qu’un DVD avec un live acoustique et tous ses clips.
LE SAVIEZ-VOUS ?
Patrick FIORI apparaît pour la première fois à la télévision en 1985, au sein du télé-crochet de Léon ZITRONE « Les habits du dimanche » diffusé sur TF1, alors qu’il n’a que 16 ans. « Je me souviens de papa qui était là, qui veillait au cas où (sourire)… mais sans jamais m’embêter. Et je garde surtout une expérience très très forte. Je crois que la construction de ma carrière et le succès dont tu parlais tout à l’heure, viennent de là » confie-t-il à Thierry CADET pour Pure Charts. « Ces moments importants m’ont basculé jeune dans un monde d’adultes. J’essayais de faire de la musique simplement, je n’ai jamais rien fait pour être le meilleur… je chante c’est tout. Je suis comme ça. C’est après que tu te rends compte que cette attitude a son importance à des moments, et te différencie de certaines personnes. Cette émission m’aura aussi permis de rencontrer DALIDA, Léon ZITRONE bien sûr, et puis d’autres artistes que je croise toujours aujourd’hui, Serge LAMA, Francis CABREL… (sourire). C’était très fort. Une très belle école« .
Peter Arnold