Michel Orso dévoile un nouvel album : "Je n'ai jamais aimé que vous"
Michel ORSO nous revient avec un nouvel album, « Je n’ai jamais aimé que vous« , signé chez Marianne Mélodie — trois ans après son prédécesseur « Michel Orso chante la Méditerranée« . Vingt-trois chansons efficaces, dynamiques, tendres, magnifiquement interprétées par l’artiste, toujours en grande forme ! Un bonheur n’arrivant jamais seul, il reprend ici son plus grand succès « Angélique » sur lequel tant de couples ont dansé en 1966.
A la fin des années 60, Michel ORSO décrochait un tube avec « Angélique« . Le jeune homme venait de quitter le midi pour réaliser son rêve : une carrière dans la chanson. À cinq ans il était déjà soliste dans la chorale de l’orphelinat où il était pensionnaire. Mais son rêve reste Paris. Il considère la capitale comme la seule ville où il puisse faire carrière. Un jour il saute le pas et monte à Paris. Là commence une période difficile où il chante dans plusieurs orchestres avant d’être engagé pour repartir dans le midi, mais en tournée cette fois avec ADAMO, Eddy MITCHELL, et Enrico MACIAS. « Angélique » deviendra le succès fou de Michel ORSO avec 300 000 45 tours vendus en quelques semaines seulement. « Cette chanson a changé ma vie » déclare aujourd’hui le chanteur âgé de 81 ans.
Orso Paolo BERTOLUCCI dit Michel ORSO, est né le 12 décembre 1936 à Prunelli-di-Casacconi en Haute-Corse. Au-delà de son unique tube « Angélique« , on lui doit aussi écrit aussi « Ma vérité c’est toi« , « Le veston à carreaux« , « L’enfant de la rue » ou « L’ami tu nous reviens« . Au début des années 70, commence une longue traversée du désert qui durera trente-cinq ans. Depuis 2006, Michel ORSO a repris sa carrière en sillonnant la France avec un spectacle dédié à son idole Gilbert BÉCAUD, mais aussi à travers la tournée « Age Tendre« . Le chanteur se fait également plaisir en se produisant de temps à autre aux côtés de l’auteur, compositeur interprète et musicien François GRIMALDI, au sein de son restaurant-cabaret Le Lamarck, sur la butte Montmartre.
Par Thierry Cadet