Marc Lavoine revient à l'être aimé
2018 sera l’année du retour de Marc LAVOINE avec un nouvel album le 18 mai et une tournée dès cet automne — qui posera notamment ses valises à la Seine Musicale de Paris les 18 et 19 octobre prochains. Six ans ont passé depuis l’album « Je descends du singe« , deux ans depuis la parenthèse « Les souliers rouges« , le conte musical sorti en 2016 en collaboration avec COEUR DE PIRATE et Arthur H. Ce nouveau disque, réalisé par Marc LAVOINE avec la complicité de François DELABRIERE, est d’abord celui d’un artiste qui ne cesse de surprendre et d’émouvoir. Celui d’un auteur dont les chansons sont autant d’airs que l’on fredonne, mais aussi des textes qui s’écoutent.
Ecrit dans la foulée d’un premier roman autobiographique dédié à son père (« L’homme qui ment« , paru chez Fayard il y a trois ans) à la force et l’honnêteté désarmantes, c’est aussi l’album du retour à ses côtes de son compositeur fétiche des débuts, Fabrice ABOULKER.
Enfin, cet opus, comme son tout premier single — sur lequel piano et claviers sont signés Mitchell FROOM, s’appellent « Je reviens à toi« . De la part de Marc LAVOINE, aucun doute qu’il s’agisse d’un acte de foi, d’une urgence. Celle d’un homme au grand désir d’absolu, de vérité et de retrouvailles avec son public. Il est, comme souvent chez LAVOINE, question d’allers/retours (« Reste sur moi« , « Reviens mon amour« …) et de rue… des canettes cette fois — après « Rue fontaine » et « Rue des acacias« .
LE SAVIEZ-VOUS ?
Marc LAVOINE et son épouse Sarah, mariés depuis 1995, viennent d’annoncer à l’AFP leur divorce. Après près de 23 ans de mariage. Ensemble, ils ont eu trois enfants : Yasmine (née en 1998), Roman (né en 2007) et Milo (né en 2010). « Sarah et Marc LAVOINE ont pris la décision de se séparer« , peut-on lire dans le communiqué transmis à l’AFP. « Ils ont choisi de rendre cette information publique de manière exceptionnelle car leur priorité est de préserver la vie privée de leurs trois enfants dans ces moments que chacun sait difficiles. Merci de respecter leur intimité« .
Par Thierry Cadet