Madonna est attendue à l'Eurovision
1,5 million d’euros de cachet pour chanter au concours, c’est la somme que devront débourser les organisateurs israéliens pour accueillir MADONNA, le 18 mai prochain à Tel-Aviv lors de la finale du Grand Prix Eurovision. La chanteuse doit signer son contrat dans les prochains jours, et si les organisateurs ne peuvent pas prendre en charge son cachet, un millionnaire a d’ores et déjà accepté de leur venir en aide. Il s’appelle Sylvan ADAMS, et a fait fortune dans l’immobilier. « Sylvan ADAMS s’est installé en Israël et dédie sa vie à améliorer et renforcer l’image du pays en y développant la culture, le sport et l’innovation » déclare Danny BEN NAIM, un associé du milliardaire, à YnetNews.
Rappelons que l’Eurovision est un évènement regardé par plus de 200 millions de téléspectateurs. Et MADONNA l’a bien compris, alors qu’elle s’apprête à publier son nouvel album dans les prochains mois. Comme Justin TIMBERLAKE en 2016, venu défendre son nouveau single « Can’t Stop The Feeling! » devenu par la suite un tube mondial, l’interprète de « La Isla Bonita » a choisi de défendre deux nouvelles chansons. A suivre…
LE SAVIEZ-VOUS ?
Pour nous représenter à l’Eurovision, les téléspectateurs de France 2 ont choisi le chanteur Bilal HASSANI avec sa chanson « Roi« . C’est donc à lui que revient le challenge de succéder à NETTA, lauréate l’an dernier avec « Toy » (voir sur ce lien). A 19 ans, Bilal HASSANI est connu des fans de « The Voice Kids » pour avoir participé à la saison 2, sur TF1. Ce dernier, est né à Paris en 1999, dans une famille marocaine originaire de Casablanca. Sa mère naturalisée française, vit en France, tandis que son père vit à Singapour.
Bilal HASSANI est une star des réseaux sociaux. Reconnaissable à ses perruques hautes en couleur et à son look androgyne, le chanteur fait l’objet de nombreuses insultes homophobes et menaces de mort. A l’automne, il avait répondu à cette campagne de cyberharcèlement dans une vidéo. « Au début, je ne m’en fichais pas, les commentaires me faisaient mal, mais tu apprends à vivre avec ces 10 à 15 insultes par minute » explique-t-il à nos confrères du « Parisien ». « Tu es anesthésié. Et il ne faut pas sous-estimer l’état de notre pays » (voir sur ce lien).
Par Thierry Cadet