Johnny HALLYDAY : près d’un million de ventes depuis sa mort
Trois semaines seulement après sa disparition, ce ne sont pas moins d'un million de disques écoulés de Johnny… L'embellie du marché dû aux fêtes de Noël a évidemment été bénéfique pour les ventes. La discographie du taulier s'arrache ! N°1 pour la deuxième semaine consécutive avec le Best of "Les 50 plus belles chansons" qui a franchi le seuil des 100 000 copies écoulées sur la période. Ajoutons à cela, l'autre Best of "Les 100 plus belles chansons", les différents lives et DVD, et la compilation hommage multi-artistes "On a tous quelque chose de Johnny" – qui approche déjà les 300 000 passages en caisse (talonnant ainsi les plus gros succès de l'année 2017). Par ailleurs, côté singles, ce ne sont pas moins de 150 000 titres téléchargés, parmi lesquels "Je te promets" (n°1 pendant deux semaines), "Vivre pour le meilleur", "Que je t’aime", "L’envie", "Sang pour sang" et "Requiem pour un fou" qui cartonnent. Impressionnant !
LE SAVIEZ-VOUS ?
L'actuel n°1 du Top Singles, "Je te promets", soit la chanson de Johnny préférée des français, est issu en qualité de troisième extrait de l'album "Gang", écrit et composé par Jean-Jacques GOLDMAN. Un disque majeur qui contient aussi les tubes "Laura", "J'oublierai ton nom" (en duo avec CARMEL) et dans une moindre mesure "Je t'attends" (pourtant choisi en premier single pour servir de locomotive au disque).
"Je te promets" sort en 45 tours en juin 1987. Il entre à la 29ème place au Top 50 à partir du 18 juillet, et squatte le Top 10 durant onze semaines, parvenant à se hisser jusqu'à la 5ème place le 19 septembre. La chanson reste classée durant vingt-deux semaines au Top 50, s'écoulant à 407 000 exemplaires, devenant le single le plus vendu de l'artiste dans les années 1980.
Dans le clip, la comédienne suisse Anne RICHARD fait une apparition. C'était son premier travail à Paris, mais elle ne rencontrera Johnny HALLYDAY pour la première fois, que quinze ans plus tard, après la sortie d'un concert pour lui raconter l'anecdote.
Thierry Cadet