François Feldman dévoile une vidéo contre les violences faites aux femmes
Au printemps dernier, François FELDMAN a dévoilé un nouvel album, le premier en treize ans. Après « You Want Every Night« , « Be my bro » (au feat. de Florence FRANÇOIS et Pedro CASTANO), « Câline-moi encore » et « Vivant« , voici que l’artiste propose déjà un quatrième clip (« Câline-moi encore » n’en a pas bénéficié), sur un nouvel extrait. « Lou » est une chanson qui dénonce les violences faites aux femmes. A cela s’ajoute le « Vivant Tour« , une tournée solo en France (en marge de ses acolytes de « Stars 80« ), qui débutera le 9 février 2019, au Théâtre Fémina de Bordeaux, puis Marignane, Toulouse, Lille, Nantes… en attendant Paris.
François FELDMAN, qui vit désormais dans les Alpes de Hauts-de-Provence, près de Nice, est plus que jamais amoureux ! « Mon retour à la composition est dû à deux choses : nouvelle maison et nouvelle chérie ! » confie-t-il à nos confrères de « France Dimanche ». « Je suis amoureux, mais comme le disait ma mère : « pour vivre heureux, vivons cachés ! ». Je ne vous donnerai donc pas son nom, mais sachez que je l’appelle bébé d’amour, et que nous ne vivons pas encore ensemble. Ma maison est plus petite que la précédente, mais j’ai pu y installer un studio d’enregistrement. Grâce à la technologie numérique, je suis en mesure de désormais travailler à distance. J’ai envoyé toutes mes chansons à Kamil RUSTAM, un ami de vingt ans, par Internet à Los Angeles. Ensuite il a enregistré les guitares chez lui, puis le mix a été réalisé à Londres, sans que j’aie à bouger de chez moi ! J’ai fait les basses et les chœurs dans mon studio. C’est une nouvelle expérience qui me simplifie la vie« .
La chanteur était au sommet au carrefour des années 80 et 90 avec pas moins d’une dizaine de tubes à son actif, des « Valses de Vienne » à « Joue pas« , en passant par « Rien que pour toi« , « Je te retrouverai« , « Le mal de toi« , « Petit Frank« , « Magic Boul’vard » ou « Joy« . Six années de plein succès, des millions de disques vendus, des concert sold-out (notamment Bercy), puis — à l’instar de Jeanne MAS, un passage radical de la lumière à l’ombre (voir sur ce lien).
Par Damien Louvetys