Didier BARBELIVIEN chante contre Alzheimer
Le nouvel opus de Didier BARBELIVIEN "Amours de moi", est disponible depuis octobre dernier. Il bénéficie actuellement d'un troisième et nouvel extrait, faisant suite à l'adaptation du célèbre "Somethin' Stupid", créé en 1967 par Frank et Nancy SINATRA – déjà repris en français la même année par Sacha DISTEL et Johanna SHIMKUS sous le titre "Ces mots stupides" (voir sur ce lien), et à "Amours de moi". BARBELIVIEN (dont personne n'a voulu en radio du spectacle "Marie Antoinette") a choisi "Les violons du passé" (à la mélodie très proche de celle de Pierre BACHELET "Elle est d'ailleurs"), une chanson qui traite d'un thème grave, puisqu'il s'agit de la maladie d'Alzheimer, dont sa maman est atteinte.
Sur ce disque, le chanteur nous fait part d'amour au fil de onze nouvelles chansons dont une dédiée à ses filles "Amours de moi", une autre à l'une de ses références namedroppée "Dans la peau d’Alain Souchon", mais aussi quelques-unes sur les lieux qui l'ont inspiré, de la Corse à St-Tropez.
Didier BARBELIVIEN embraye aussi avec un nouveau spectacle porté par ce nouvel album. L'auteur, compositeur à succès présente en effet sur scène ses plus grands tubes en tant qu'interprète ("Elle", "Elsa", "A toutes les filles", "Il faut laisser le temps au temps", "Les mariés de Vendée", "Puy du Fou") mais aussi ceux écrits pour d'autres artistes, de "Mademoiselle chante le blues" à "Il tape sur des bambous", en passant par "On va s'aimer", "Méditerranéenne", "Elle m'oublie" etc.
LE SAVIEZ-VOUS ?
Au-delà de la chanson de Didier BARBELIVIEN, saviez-vous que le premier collectif d'artistes évoquant cette maladie neurodégénérative qui touche 850 000 personnes en France, était celui des MARGUERITES ? Une vingtaine de chanteurs indépendants (dont Mickaël MIRO et Allan THÉO), portés par Thierry CADET et Cédric BARRÉ, qui s'étaient classés 71ème du Top Singles en 2008 avec leur chanson "J'y étais pas".
Thierry Cadet