Johnny Hallyday : découvrez son clip posthume "J'en parlerai au diable"
Ce vendredi, pas moins de 800 000 exemplaires de l’album posthume de Johnny HALLYDAY « Mon pays c’est l’amour » sont mis en rayon dans les différents points de ventes (des enseignes agroalimentaires comme Auchan ou Atac proposeront aussi le disque sur leurs étalages). L’album — dont les premières images du clip de « J’en parlerai au diable » ont été dévoilées, sort en trois éditions : CD simple, CD collector à tirage limité avec livret, et vinyle couleur blanc. « Nous avons même dû refréner l’ardeur des circuits traditionnels » explique Thierry CHASSAGNE, le PDG de Warner Music. Rien qu’avec les pré-commandes du disque, le label est en mesure d’annoncer que le regretté chanteur sera immédiatement n°1 des ventes, et disque de platine (voir sur ce lien). Ils étaient environ deux-cent personnes à être venus se procurer le précieux sésame, hier soir à Paris, à la Fnac des Champs-Elysées, spécialement ouverte pour l’occasion. L’enseigne tablait sur cinq-cent clients au final avec une fermeture prévue vers 2H30-3H00 du matin.
Au programme de ce disque de Johnny « Mon pays c’est l’amour« , dix pistes d' »une qualité folle« , dont certains titres ont été révélés : « Je ne suis qu’un homme« , « Un enfant du siècle« , « Tomber encore« , « 4m2« , « J’en parlerai au diable« … « Cet album n’est pas bloqué. Effectivement il y avait eu une demande mais finalement tout le monde a vu que Johnny était très impliqué, était très très au fait de cet album. C’est un album auquel il tenait. J’ai tendance de dire « auquel il tient » tellement il est encore présent parmi nous. C’est un album qui lui tient vraiment au coeur. Je pense que ses fans vont être bluffés. C’est un album exceptionnel. Je pense que c’est un album qu’attendent les fans, mais plus que les fans. On l’a vu, Johnny a bercé l’ensemble de plusieurs générations. Bien sûr c’est notre sortie majeure, mais c’est aussi la sortie majeure de l’industrie de la musique en France. Forcément, il y aura des dispositifs hors norme » poursuit Thierry CHASSAGNE.
Par Thierry Cadet