Nicolas Peyrac sur la route avec ses "Acoustiques improvisées"
Entre 1974 et 1980, après des titres chantés par Marie LAFORÊT ou par Gérard LENORMAN, Nicolas PEYRAC interprète ses propres chansons, et enchaîne les succès : « So Far Away From L.A« , « Et mon père« , ou « Je pars« . Il se produit à l’Olympia en 1979, Bobino en 1981, puis compose plusieurs albums aux succès divers. Son dernier en date « Suffit que tu oses« , est sorti en janvier dernier. A 68 ans, le chanteur se produit ce printemps et cet été avec ses « Acoustiques improvisées« . « Partir avec une guitare : cette envie-là me trottait dans la tête depuis longtemps, pour revenir à l’essentiel, à l’idée même de l’écriture, quelques mots et quelques notes sans aucune notion d’arrangements, de production… » confie-t-il sur son site officiel.
Nicolas PEYRAC posera notamment ses valises le 1er juin à Blinche en Belgique, le 12 juillet aux Francofolies de La Rochelle, le 17 août au Festival DécOUVRIR de Concèze… des dates bookées jusqu’en avril 2019. « Mon but n’est pas de faire le guignol en courant les plateaux télé, mais de partager des émotions. Je remplis des petites salles tout seul, je vends mon disque autoproduit à la sortie, je partage des sourires et des larmes, et cela suffit à mon bonheur. Je crois que je n’ai jamais été aussi heureux. On m’a proposé trois fois de faire la tournée « Age tendre« , avec pas mal d’argent à la clé, mais je préfère faire découvrir mes chansons moins connues que chanter les trois mêmes tous les soirs. Sans être milliardaire, je n’ai pas besoin d’argent. Je n’ai aucune aigreur » poursuit-il à nos confrères du « Parisien ».
LE SAVIEZ-VOUS ?
En mars dernier, Nicolas PEYRAC été hospitalisé en urgence à l’hôpital de Rennes à la suite d’une « très grande fatigue« . Suivi de très près parce qu’il a été touché par une leucémie diagnostiquée en 2012, une maladie qui l’a boosté selon lui et qu’il avait choisi d’aborder dans son livre « So Far Away, un certain 21 mars« . « Quand mon frère, médecin, me l’a annoncé, j’ai eu évidemment un choc. Mais c’
Par Damien Louvetys