Arnold Turboust en concert au Café de la Danse de Paris
Le 13 juin prochain, le chanteur du tube indémodable « Adélaïde » (en duo avec Zabou BREITMAN), Arnold TURBOUST se produira pour un concert exceptionnel au Café de la Danse de Paris. L’occasion rêvée pour cet artiste emblématique de la pop française de replonger dans sa discographie, riche de cinq albums, dont l’inaugural « Let’s go à Goa » — réédité le 8 juin chez Universal avec des titres bonus, et le récent opus éponyme qui témoigne de son savoir-faire mélodique (voir sur ce lien). Une soirée immanquable où Alain CHAMFORT, Zabou BREITMAN, Bertrand BURGALAT et Barbara CARLOTTI figurent parmi les invités déjà confirmés. Sans compter d’autres surprises au programme. « Sur scène, il y a de tous les albums, j’ai pioché un peu partout. C’est assez agréable, et en même temps assez logique, ça s’enchaîne plutôt bien. Il y a une logique entre « Adélaïde« , « Souffler n’est pas jouer » ou « Le prix de mon silence« , on n’est pas si loin en fait (sourire) » confiait-il récemment à nos confrères du site Horscene.
Arnold TURBOUST commence sa carrière avec sa participation aux claviers sur le premier album de MARQUIS DE SADE (actuellement sur le coffret du « Golf-Drouot »), puis c’est la création de son groupe nantais, PRIVATE JOKES. En 1986, une chanson pop propre à l’innocence de nos 80’s le révèle au grand public. « Adélaïde » restera classée quinze semaines au Top 50, pointant 23ème en septembre 1986. Elle sera suivie du follow-up « Les envahisseurs« .
LE SAVIEZ-VOUS ?
En mars dernier, Arnold TURBOUST a reçu le Grand Prix de l’UNAC (Union nationale des auteurs et compositeurs) de l’autoproduction pour son cinquième album (avec aussi Rico CONNING, son co-réalisateur). Rico CONNING chante, compose et joue d’abord de la guitare dans le groupe londonien THE LINES, puis travaillant pour le North London’s Guerilla Studios, il devient un des producteurs de nombreux artistes tels que Adam ANT, DEPECHE MODE ou… Etienne DAHO — il co-réalisera avec Arnold TURBOUST l’album culte « Pop Satori« , en 1986.
Par Thierry Cadet