Claude FRANÇOIS : la comédie musicale sera pour 2019

Par Thierry Cadet
Le 20 février 2018
3 mins
Claude FRANÇOIS : la comédie musicale sera pour 2019
Crédit photo : Marlyse Press Photo

Nous vous en parlions déjà il y a un an (voir sur ce lien), le récent triomphe de M. POKORA avec ses reprises de CLOCLO donne des idées… D’après Claude FRANÇOIS Jr, une nouvelle comédie musicale sur son père serait en cours d’écriture. C’est lors d’une interview accordée à la « Social Room » d’Europe 1, que le fils du chanteur disparu en 1978 a fait ces confidences. Une nouvelle comédie musicale, car en 2003 déjà, un spectacle était consacré à Claude FRANÇOIS, « Belles belles belles« , joué à l’Olympia, sans grand succès il faut bien le dire.

Mais si l’évènement devait être dans les Zénith à partir de l’automne prochain, pour célébrer les 40 ans de la disparition de Claude FRANÇOIS, il semblerait que les récents échecs de certaines comédies musicales, aient échaudé Claude FRANÇOIS Jr. « L’échec de quasiment toutes les comédies musicales l’an passé nous a fait revoir nos prétentions à la baisse » confie-t-il à nos confrères du « Parisien » (évoque-t-il la déconvenue du spectacle « Hit Parade« – dans lequel son père apparaissait ?). Quoiqu’il en soit le fils de la star co-produira ce spectacle avec Olivier ESSEBAG. Il sera signé par Nicolas NEBOT, déjà derrière les adaptations françaises de « Mamma Mia » ou « Bodyguard« . Pour le moment, celui qui interprétera Claude FRANÇOIS sur scène n’a pas encore été choisi.

 

LE SAVIEZ-VOUS ?

En 2003, c’était une comédie musicale entière sur les tubes de Claude FRANÇOIS qui voyait le jour. « Belles belles belles » se jouera à l’Olympia de Paris produite par Gérard LOUVIN (qui va par ailleurs produire Enora MALAGRÉ au théâtre), dans une certaine indifférence. Pour autant, deux singles verront le jour : l’adaptation du « Reach Out I’ll Be There » des FOUR TOPS, « J’attendrai » (Top 15 en 2003) et « Comme d’habitude » (Top 50 en 2004) par LES FILLES (Joy ESTHER, Aurélie KONATÉ et Liza PASTOR).

Par Thierry Cadet