Alain CHAMFORT dévoilera son nouvel album le 20 avril
A 69 ans, Alain CHAMFORT (qui fête cette année ses 50 ans de carrière) donnera dans deux mois un successeur à son disque éponyme paru en 2015, et défendu par le néo-disco « Joy« . Trois ans après, il sera donc de retour en bacs le 20 avril prochain avec un nouvel opus intitulé « Le désordre des choses » – déjà porté ce vendredi par deux extraits : « Les microsillons » et « Exister« . Le fidèle Pierre-Dominique BURGAUD est crédité aux textes, ajoutons à cela l’apport à la réalisation du danois Johan DALGAARD qui s’est illustré aux côtés de Gaëtan ROUSSEL ou de Keren ANN.
Alain LE GOVIC aka Alain CHAMFORT est un musicien, chanteur et compositeur français, né le 2 mars 1949 à Paris. La famille Le GOVIC habite Clichy. Pendant l’été 1952, elle déménage à Eaubonne dans le Val-d’Oise. C’est remarqué par Claude FRANÇOIS, qu’Alain CHAMFORT connaît ses premiers tubes, « Adieu mon bébé chanteur » et « L’amour en France« . En 1976, malgré tout, il quitte l’univers étouffant du label Flèche (Jaloux de son succès, Claude FRANÇOIS était devenu un véritable tyran à son égard) en signant chez CBS pour enregistrer « Le temps qui court« , « Joujou à la casse » ou « Baby Lou » (et parallèlement réaliser des choeurs pour Véronique SANSON). Puis, c’est une chanson de Serge GAINSBOURG « Manureva« , qui restera à ce jour le plus grand succès de sa carrière, en 1979. Un million d’exemplaires vendus en plein période disco.
LE SAVIEZ-VOUS ?
Pour célébrer les 50 ans de la naissance des Disques Flèche (dont Alain CHAMFORT faisait partie produit par Claude FRANÇOIS), le coffret regroupe 85 titres, enregistrés sur ce label entre 1967 et 1978. Pour la première fois, retrouvez le meilleur des années Flèche (1967-1978), dans un prestigieux coffret de 4CD ! Inclus un somptueux livret couleur, la discographie détaillée de chaque titre, le son des masters d’origine entièrement remastérisé ! Un concept rare jamais réalisé jusqu’à aujourd’hui, rempli de souvenirs inoubliables, de moments heureux et de tubes incontournables (voir sur ce lien).
Par Thierry Cadet