Michel POLNAREFF : "Je trouve étrange qu’on soustraie l’enveloppe de Johnny à son public"
Après l'hommage populaire rendu demain samedi, à partir de 11h00 à Paris (voir sur ce lien), Johnny HALLYDAY sera inhumé à Saint-Barthélémy, selon un communiqué de ses proches. Michel POLNAREFF trouve "étrange qu’on soustraie l’enveloppe de Johnny à son public", exprime-t-il sur sa page Facebook. "Et qu’on rende impossible à ses fans la possibilité de lui montrer à quel point ils sont attachés à lui. Johnny HALLYDAY fait partie du monde de St Barth dans un univers de vacances ensoleillées mais son patrimoine réel est celui de la France. En France métropolitaine, ses admirateurs pourraient déposer une fleur, un message, une photo, un trèfle à quatre feuilles sur sa tombe. Je trouve impensable qu'on empêche tous ceux qui se trouveraient, tout comme moi, inconsolables de cette immense perte et de son courage, dans l’incapacité de lui montrer leur reconnaissance par une impossibilité de la lui démontrer".
Michel POLNAREFF oublie peut-être qu'au delà d'un public, Johnny HALLYDAY a d'abord une famille. Dans ces petites Antilles (dévastée en septembre dernier par l'ouragan Irma à Saint-Barthélémy et à Saint-Martin), le chanteur y possédait depuis plusieurs années une demeure où il aimait se ressourcer en famille avec Laeticia et ses deux filles, Jade et Joy.
"Je suis terriblement bouleversé. Mais quand on a un ami – et c'en était un – on n'a pas envie d'entendre que cette personne souffre. Bien sûr que je bouleversé par son départ, que je suis triste. Mais j'ai un ami qui ne souffre plus et ça c'est très important. Je suis triste et libéré" poursuit Michel POLNAREFF sur RTL.
LE SAVIEZ-VOUS ?
Toute l’équipe des comédiens de la série "Mystères de l’amour" (spin off de la sitcom "Hélène et les garçons") diffusée sur TMC, s’est réunie pour enregistrer un titre inédit "Saint-Martin, ne pleure pas", au profit des sinistrés de Saint-Martin et de Saint-Barthélemy (dont l'ouragan Irma aurait fait un millier de mort). Leur action peut être soutenue en faisant un don à la Fondation de France (voir sur ce lien).
Thierry Cadet