MODERN TALKING : un concert de Thomas ANDERS à Paris ?
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C'est en 1982 que Dieter BOHLEN (auteur/compositeur/producteur) rencontre Thomas ANDERS (interprète), qu'il va produire en solo. Après quelques titres, en allemand, dont une reprise de F.R. DAVID ("Pick Up The Phone") et de REAL LIFE ("Send Me An Angel"), les deux hommes décident finalement de former le duo MODERN TALKING courant 1984. Leur premier single "You're My Heart, Your My Soul" devient rapidement l'un des hits européens de l'année suivante (Top 3 en France). La formation allemande de disco/pop (1982-1987 puis 1998-2003) constituée par BOHLEN et ANDERS, vendra un total de plus de 120 millions de disques à travers le monde. Depuis, le premier est devenu juré de la version allemande de "Nouvelle Star" ("Deutschland sucht den Superstar") et le second s'est encanaillé avec la chanteuse SANDRA, puis avec le chanteur Uwe FAHRENKROG-PETERSEN.
Trente-et-un ans après le premier tube de MODERN TALKING, Jeff Prestations a décidé pour les fans, de faire appel au financement participatif afin de mettre en place pour 2017 un concert de Thomas ANDERS au Trianon de Paris – mais aussi de LIMAHL "The Never Ending Story" (Top 7 en 1985). L'idée est simple, proche du crowdfunding (ndlr : expression décrivant tous les outils et méthodes de transactions financières qui font appel à un grand nombre de personnes afin de financer un projet). En gros, miser une somme d'argent, pour faire en sorte que le concert ait lieu. "Faîtes passer le mot auprès de vous, mobilisez-vous, soyez le relais dans votre ville, dans votre région pour réunir 1 500 personnes ! Ceux qui ne l'ont pas encore fait rejoindre la page officielle du projet".
Le tout avant le 10 octobre prochain, afin que 800 billets minimum soient vendus pour valider et maintenir l'évènement (voir sur ce lien). "Avec l'argent des billets vendus je pourrai m'engager à signer les contrats des artistes et la salle de concert, pouvoir verser les acomptes et caution pour bloquer une date en concertation avec les managers des artistes et la direction du Trianon". A suivre…
Thierry Cadet