La chanteuse Pascale RICHARD est décédée
Pascale RICHARD, qui avait été la choriste de Michel SARDOU, C. JÉRÔME ou de Julie PIÉTRI, est décédée le 29 avril dernier, le jour de son 61ème anniversaire. Cette dernière était la sœur de Chantal RICHARD alias SLOANE (PETER ET SLOANE). "Mes amis, je vous demande d'avoir une grande pensée d'Amour pour ma petite sœur Pascale qui nous a quittés cette nuit, le jour de ses 61 ans. Vous imaginez bien la peine que je peux avoir ainsi que ma famille, nous étions tous très liés et pour nous c'est une très grande peine et perte… Profitez de la vie et surtout arrêtez de fumer car c'est ce qui l'a emporté… Bon voyage ma sœur chérie que j'aime et que j'aimerai toujours et grand respect pour ton immense talent de chanteuse et de cœur que j'ai eu la chance de partager avec toi pendant si longtemps…" écrit-elle sur sa page Facebook.
Et Julie PIÉTRI d'enchérir : "Quelle tristesse d'apprendre ce matin le décès de mon ancienne et adorable choriste Pascale RICHARD… Elle a participé à l'album "Féminin singulière", partagé la scène du Petit Journal Montparnasse et tant d'autres lors de mes tournées… Une personne avec une grande générosité de cœur et une compagne de route ! Paix à son âme… Pensées particulières à Chantal et à sa famille à qui je présente toutes mes condoléances… RIP Pascale".
En 1984, Pascale RICHARD avait enregistré un 45 tours chez Barclay "Soir de blues" — une chanson signée Claude MAINGUY (qui co-écrira aussi tous les tubes de DÉBUT DE SOIRÉE dont "Nuit de folie"). C'était l'époque de "Femme libérée", des "Nanas" au cinéma, et du tube de sa sœur SLOANE n°1 du Top 50 "Besoin de rien, envie de toi". Au début de ces années 80, NRJ utilise "Soir de blues" comme jingle, lui assurant des dizaines de rotations par jour, et un total de 60 000 exemplaires vendus. Si bien que suivra "Orléans (maman m'attend)" deux ans plus tard chez Philips, puis "Joue moi" en 1987 chez Carrère et enfin "Je me casse" composé et arrangé par Guy MATTÉONI (Michèle TORR, Michel FUGAIN…) en 1989 chez BMG.
Thierry Cadet