ANGGUN et Florent PAGNY scellent leur amitié au sein d'un clip

« Nos vies parallèles » c’est avant tout l’histoire d’une rencontre : celle de deux personnalités authentiques, de deux univers, de deux cultures. Une rencontre humaine qui s’est faite il y a près d’une vingtaine d’années. ANGGUN n’a que 20 ans lorsqu’elle débarque en France. Elle ne parle pas notre langue et rêve de dévorer la vie, de partir à la rencontre des autres, pour mieux se découvrir elle-même. Au hasard d’une rencontre, le destin mettra sur son chemin celui qui va changer sa vie et lancer sa carrière internationale : Florent PAGNY. Séduit par sa voix singulière et envoûtante, il lui présente son producteur musical de l’époque. C’est ainsi que « La neige au Sahara » verra le jour, se classant 16ème de notre Top en 1997. Leurs chemins se croiseront souvent… chacun se réjouira du succès de l’autre à distance… Deux destins parallèles, deux histoires entremêlées, de Bali à la Patagonie en passant par la France. La distance n’efface pas les liens.

En 2015, en pleine préparation de son nouvel album « Toujours un ailleurs » (en bacs le 20 novembre prochain), ANGGUN propose à Florent PAGNY d’interpréter avec elle le titre que Frédéric CHÂTEAU leur a écrit : « Nos vies parallèles« . Un tube en puissance (si les radios « en manque de nouveautés francophones » se donnaient la peine de le diffuser), solaire, coloré, à l’image de leur joie de vivre et de leurs vies, de leur histoire commune. L’artiste Colombien Yuri BUENAVENTURA acceptera avec joie de les accompagner sur ce duo authentique. « Cette chanson c’est un peu comme la vie : on vit tous ensemble, on partage la même chose, on ne connait pas la vie des autres et puis un jour on se rencontre. Il se passe des choses artistiques ou pas, on fait des choses ensemble ou pas, mais j’aime beaucoup l’idée de ces personnes que je n’ai pas encore rencontrées et qui respirent le même air et qui ne vivent peut-être pas la même chose mais qui vivent avec la même intensité, et puis un jour ou l’autre on se rencontre… ou pas. Je trouve cette idée très romantique » confie ANGGUN. « Cette chanson, avec le petit train dans la plaine, c’est exactement ma vie en Patagonie, et quand j’ai lu pour la première fois les paroles, je me suis vu chez moi… » poursuit Florent PAGNY.

Thierry Cadet