KENT et OLDELAF au Prix Georges MOUSTAKI 2016
Depuis le début du mois, et jusqu’au 15 décembre prochain, les inscriptions au Prix Georges MOUSTAKI 2016 sont lancées pour ceux ayant publié un album et/ou un EP de 5 titres minimum en 2015 (ou à paraître avant le 31 décembre 2015) sur CD (l’artiste ne doit pas avoir produit plus d’un CD et/ou 2 EP avant le disque présenté lors de la sélection, et doit chanter majoritairement en français) – Le concours est ouvert à toute la Francophonie (France, Belgique, Suisse, Québec…). Pour connaître les modalité d’inscriptions, cliquez sur ce lien. Pour cette nouvelle édition, c’est KENT (dont l’intégrale est disponible depuis juin dernier) qui sera Président du jury, et OLDELAF (que les téléspectateurs aperçoivent régulièrement dans l’émission de DAVE « Du côté de chez Dave » sur France 3, qui parrainera la promotion #6.
La sélection se réalisera sur écoute CD par les membres du jury (de nombreux professionnels, journalistes, attachés de presse, programmateurs…), puis sept artistes seront sélectionnés, afin de se produire en live lors de la finale du Prix Georges MOUSTAKI, qui se déroulera dans le cadre de « Chanson française en Sorbonne », au Centre Malesherbes de l’Université Paris-Sorbonne (Paris IV), le 3 mars 2016, sous la présidence de KENT et le parrainage d’OLDELAF. A suivre…
En 2011, Thierry CADET et Matthias VINCENOT fondaient, avec l’accord et le soutien du créateur du « Métèque« , le Prix Georges Moustaki. Un prix visant à mettre en avant les artistes indépendants sans distinction de styles, non signés en major, et venant de publier un EP ou un album afin de décerner parmi sept finalistes, le Prix du Jury et le Prix du Public. Ainsi, en 2011, c’est la chanteuse MELISSMELL qui décrochera la palme, rejointe les années suivantes par VENDEURS D’ENCLUMES, ASKEHOUG, ROBI et Liz VAN DEUQ (voir sur ce lien). « Je suis en phase avec les deux jeunes gens qui s’en occupent. J’avais quelques réticences à m’embringuer là-dedans, mais ils sont terriblement sympathiques, et ils savent ce qu’ils font. Ce sont des gens que j’estime beaucoup. J’ai eu envie de les suivre. Je vois ce qu’ils font tout au long de l’année. On est dans la même cour » déclarait Georges MOUSTAKI en 2012, au magazine de Jean-Pierre PASQUALINI, « Platine« .
Thierry Cadet