C’est à Paris le 24 Juillet 1949 qu’est né Yves DUTEIL.
Dès son plus jeune âge Yves DUTEIL, est plongé dans la musique. Tout d’abord c’est le piano, mais dès son adolescence, c’est vers la guitare qu’il s’oriente. Côté étude, après s’être essayé au Droit, c’est vers la musique qu’Yves DUTEIL se tourne et intégre le Petit Conservatoire de la chanteuse MIREILLE.
Une réussite pour le jeune Yves DUTEIL qui sortira en 1972 « Virages » son premier titre, qui lui permettra d’assurer les premières parties d’artistes comme RÉGINE ou bien encore Juliette GRÉCO. Mais pour que la carrière d’Yves DUTEIL décolle, il faudra attendre 2ans, et le Prix du Public, ainsi que celui de la meilleure chanson qu’il remporte au concours du festival Spa en Belgique, qui lui donne ainsi la possibilité de sortir « L’écritoire ».
En 1976, Yves DUTEIL sort l’album « J’attends », un succès qui permettra à Yves DUTEIL de mettre plusieurs trophées à son palmarès, le Prix Jeune Chanson du Haut Comité de la langue française; Celui l’Académie Charles CROS et du Secrétariat à la Culture. Devant tant de réussite, Yves DUTEIL sort l’année suivante « Tarentelle » son nouvel album incluant le tube « Prendre un enfant » qui sera élu « Plus belle chanson du siècle » en 1988. En 1978 Yves DUTEIL part à la rencontre de son public pour la première fois.
En 1981, Yves DUTEIL a créé les Éditions de l’Écritoire, devenant ainsi son propre producteur, et fera patienter le public pendant trois ans avant de sortir « Statue d’ivoire ». Une fois encore le succès est au rendez vous et Yves DUTEIL obtient l’insigne de Chevalier des Arts et Lettres. L’année suivante Yves DUTEIL publie « La langue de chez nous », véritable déclaration d’amour à la langue française et obtient une médaille d’argent de l’Académie Française ainsi qu’un trophée de la meilleure chanson française décerné par la SACEM pour la chanson phare de l’album.
Les distinction s’enchainent aussi dans les années 90, puisque Yves DUTEIL est nommé Chevalier dans l’Ordre national du Mérite et deviendra en 1996, Chevalier dans l’ordre de la Légion d’honneur. En 1992, lors des Jeux Olympiques d’Albertville, Yves DUTEIL signe « La fleur de l’impossible », chanson choisie par le Comité Olympique comme illustration sonore de l’événement international.
En 1997, Yves DUTEIL reçoit le grand prix de la SACEM et dévoile par la même occasion, un nouvel album très engagé, « Touché », sur lequel on retrouve notamment, le titre « Dreyfus » en référence à son célèbre grand oncle mais également le titre « La tibétaine », écrite pour défendre Ngawang SANGDROL, tristement célèbre prisonnière et « Grand-père Yitzhak », écrite pour Yitzhak RABIN.
Après quelques années de silence, passées notamment à défendre de nobles causes, comme c’est le cas depuis le début de sa carrière, Yves DUTEIL revient en 2009 avec l’album « (Fr)Agiles » sorti au Québec, et dévoile la même année le dvd du spectacle du même nom, enregistré au Théâtre Déjazet à Paris.