Robbie WILLIAMS chante (à nouveau) en français
Alors que son dernier album « The Heavy Entertainment » peine malheureusement à convaincre en France, Robbie WILLIAMS a décidé – comme à la grande époque de son tube « Supreme » (Top 12 en 2001), de chanter en… français. C’est donc dans la langue de MOLIÈRE, et grâce à une adaptation de DORIAND (à qui on doit notamment « Open Season (Une autre saison) » pour Josef SALVAT ou encore « Elle me dit » et « Boum Boum Boum » pour MIKA) qui met sa plume au service de l’ex-TAKE THAT (voir sur ce lien), que ce dernier revient sur les ondes avec « Time On Heart« . « Ce qui brille en toi, c’est ton histoire, c’est au fond de toi, on cache toujours le meilleur, je connais bien ça, laisse la lumière aveugler les stars…« .
Publié en novembre dernier, et déjà défendu par les singles « Party Like A Russian » (qui avait pourtant tout d’un tube), « Love My Life » et « Mixed Signals« , le dernier opus de Robbie WILLIAMS sera par ailleurs défendu sur scène, le 1er juillet prochain à l’AccorHotel Arena de Paris. Sur ce disque, Guy CHAMBERS son compositeur et producteur et lui, a eu l’idée d’incorporer un sample d’une chanson de Serge GAINSBOURG « Je n’avais qu’un seul mot à lui dire » (issu du téléfilm et de l’album « Anna » datant de 1967) dans un titre, et un second du tube 90’s de Crystal WATERS « Gypsy Woman » (Top 11 en 1991) dans un autre.
Une version Deluxe de l’album est également disponible (avec un duo enregistré au côté de John GRANT), elle inclut seize titres et un DVD contenant des vidéos des coulisses et des titres bonus. « J’étais en train de penser au mot ‘divertissement’ – toutes les grandes émissions TV de mon enfance, qui réunissaient 30 millions de téléspectateurs, cette expérience fabuleuse partagée par le plus grand nombre que l’on appelle divertissement. Parfois cela peut paraitre futile mais pour moi c’est du grand divertissement (heavy entertainment). C’est ce que j’espère accomplir avec cet album – partager une expérience avec des millions de gens par le divertissement… et sous anabolisant » confie l’ex-TAKE THAT âgé aujourd’hui de 42 ans.
Thierry Cadet