Mallaury NATAF ("Le miel et les abeilles") serait dans une situation catastrophique
Ex-vedette du petit écran, entre 1992 et 1997, grâce notamment à la sitcom AB « Le miel et les abeilles« , puis à « Sous le soleil » – sans parler du buzz suscité par sa prestation sans petite culotte dans le « Jacky Show« , Mallaury NATAF avait participé en 2005 à la saison 2 de « La Ferme Célébrités » avant de sombrer dans la dépression. En 2012, Mallaury NATAF annonçait être dans une situation d’extrême détresse. « Je suis SDF depuis mars 2011, lorsque j’ai dû laisser mon compagnon, victime d’une rupture d’anévrisme, et quitter mon appartement » confiait-elle au « Parisien », comme un appel au secours. Face à la gravité des événements, les services sociaux avait immédiatement placé son fils Shiloh, alors âgé de trois ans, en foyer.
Une situation qui n’avait pas manqué d’alerter Jean-Luc AZOULAY, son producteur durant les années 90. « Il y a huit mois, quand nous nous sommes vus pour la dernière fois, Mallaury me disait qu’elle était devenue bouddhiste et qu’elle voulait devenir prof de yoga. Je n’avais pas l’impression alors qu’elle se trouvait en danger » déclarait-il alors. « Nous sommes régulièrement en contact avec Mallaury et cette nouvelle me surprend. S’il lui était arrivé quelque chose de grave, elle aurait prévenu ses copains, moi ou quelqu’un de la bande d’AB. Qu’elle sache que je suis prêt à l’aider« .
Trois ans après, le contexte se serait encore empiré. Selon nos confrères de « Voici », à 43 ans l’interprète de « Fleur sauvage » aurait retrouvé les trottoirs des grands boulevards parisiens. Son fils Shiloh, qui a désormais six ans, est depuis longtemps entre les mains des services sociaux. « Vu les propos incohérents que Mallaury tenait, nous avons pensé qu’elle était un danger, pour elle et pour les autres » explique la Présidente d’une association qui lui était venue en aide. Mallaury NATAF ne semble pas avoir plus de contacts avec ses deux autres enfants. Aujourd’hui, on peut la croiser priant dans une langue qu’elle seule comprend, pour chasser « le mauvais œil« . C’est le visage marqué, qu’elle arpente les rues parisiennes. Tous les deux jours, elle ferait sa lessive dans un bistrot où elle a pris ses habitudes, et ferait sécher son linge sur les grilles du métro.
Thierry Cadet